SAMSIC sans tête…

D'ATALIAN à SAMSIC, mêmes méthodes...

 

Nous avions déjà parlé des pratiques peu scrupuleuses de SAMSIC Angers avec à sa tête depuis le début d’année un ancien directeur de l’agence d’ATALIAN Angers. Celui-ci a dû embarquer toutes les turpitudes qu’il y trimbalait car les abus continuent. On lui avait déjà remonté les bretelles sur une non-respect de l’Annexe 7 concernant le transfert du personnel (voir l’article en cliquant ICI). Cela se passait début février. Suite à notre intervention et pour éviter un prud’homme perdu d’avance, SAMSIC avait repris le salarié en lui payant le temps non travaillé de son fait. Mais quid de l’avenant ?

SAMSIC s’entête.

En guise d’avenant, on lui avait proposé un nouveau contrat. Refus motivé du salarié de signer un document ne respectant pas la Convention Collective. Puis plus rien.  Nous sommes au mois de juillet et SAMSIC remet le couvert. Le même contrat lui est proposé. Où est est le sérieux de cette Direction ? Visiblement beaucoup moins exigeante envers elle-même qu’envers ses salariés, elle se fout du monde et les prend pour des abrutis.

L’avenant est obligatoire !

En cas de transfert de personnel, il n’y a pas de contrat mais simplement un avenant qui constate l’intégration du salarié aux conditions du nouveau contrat. Malheureusement, quasiment l’ensemble des sociétés de nettoyage imposent en toute illégalité un nouveau contrat à leurs conditions, ce qui leur permet éventuellement de se débarrasser plus facilement des travailleurs concernés. Elles  peuvent arborer RSE, chartes, etc… dans leurs plaquettes et sites internet, elles mentent. Leurs procédés sont à vomir…et elles continueront tant que les salariés ne se révolteront pas.

Quelques conseils...

Faites le travail au minimum. Surtout pas plus que prévu au contrat. Exigez des fiches de poste qui peuvent vous servir de preuve par rapport à vos classifications. Se plaignant de ne pas trouver de personnel, les dirigeants de ces entreprises ne font que payer leur comportement indigne.

Sans vous, ils ne sont rien !