Ou comment diminuer votre temps de travail en l’augmentant…
Vu chez ONET
Une salariée effectue sur un site A 13h45 hebdomadaire depuis un grand nombre d’années. Elle a sur ce site été reprise dans les même conditions par plusieurs sociétés. Son travail est de bonne qualité. Son employeur actuel lui propose un site supplémentaire B pour 6h15 hebdomadaires. Cela doit lui faire un contrat de 20 h hebdomadaires.
Les malins…
La faute de cette salariée est de mal lire le français et de faire confiance à son responsable de site qui lui fait rapidement signer un avenant sur son lieu de travail pour un total de … 17h30. La Direction, maligne a modifié le planning du site A passant le temps de travail du site de 13h45 à 11h30 hebdomadaires. Pour la même charge de travail évidemment !
La salarié n’y a vu que du feu puisque globalement elle a plus de temps de travail. De son côté, la Direction s’est mis dans la poche 2h15 hebdomadaires.
ONET ne répond pas. enfin si. Allez vous faire foutre …
Interrogée plusieurs fois sur ce cas, la Direction ne répond toujours pas. Elle a un avenant signé et ça lui suffit. La salariée a vu son contrat de travail évoluer à la hausse. De quoi se plaint-elle ?Et le Syndicat CGT, de quoi se mêle t-il ? Message reçu. Ce silence équivaut à un “Allez vous faire foutre !”
Le dossier reste ouvert…
Ne confondez pas l’acronyme et le mot
L’affaire n’évolue plus pour le moment.
ONET est la première société française du secteur de la propreté. Et en maltraitance sociale, à quelle place se situe t-elle ?
Elle fait partie de ces entreprises qui repeignent leur environnement en blanc et vert à coup de Responsabilité Sociétale Environnementale (RSE) dont le respect se situe au niveau de celui qu’elle a envers les salariés. C’est dire l’hypocrisie ambiante !
En conclusion, ne confondez pas l’acronyme ONET (acronyme d’Office nouveau du nettoyage° et le mot “honnête”.