ARENIS : la main dans le pot de confiture !

Un dossier résolu de plus... chez ARENIS

Du côté des salaires...

Encore un dossier qui montre bien qu’il est nécessaire de vérifier systématiquement les bulletins de salaire . Car ne croyez pas trop aux erreurs, c’est très souvent à l’insu du plein gré de la Direction. Preuve en est sur ce dossier.

On retrouve : 

– la prime de transport non payée sur les CDD

– un avenant d’une dizaine d’heure “oublié”

– la fameuse majoration des compléments d’heures (10%) passé à la trappe. 

– la Prime Conventionnelle probablement victime d’un virus informatique

Bref, en tout environ 300 euros récupérés qui seront mieux dans sa poche que dans celle de la Direction. 

Du côté des conditions de travail ...

Encore un témoignage d’une salariée qui se plaint d’avoir subi des réflexions peu amènes de la part de sa supérieure pour ses arrêts maladie. Pensez donc, on s’arrête pour le plaisir d’avoir 3 jours de carence et des indemnités ras le bitume…Cerise sur le gâteau, la salariée sort de la société sur une inaptitude au travail. C’est de la provocation de sa part !

 

Du côté de l'impolitesse de la Direction

Rien ! Sa majesté patronale, seul aux manettes d’Arénis, ne s’excuse même pas. Une simple formule du type : “Après vérification, des erreurs ont été commises sur votre paye et nous vous présentons nos excuses”. C’est simple et respectueux du salarié.

En revanche pour l’avenant en complément d’heures, la formule est : “nous accédons à votre demande….”. Traduction : je daigne vous accorder ce qui vous est dû. Comme s’il avait le choix !    

 

Témoignez !

N’hésitez pas à faire des témoignages écrits de ce que vous ressentez lorsque vous vivez ces violences verbales donc difficiles à prouver. A votre demande, il ne seront présentés qu’en justice ou à l’inspection du travail.

Quelle que soit la société, les conditions de travail sont le reflet du caractère des dirigeants. S’il y a des violences, c’est parce que les dirigeants laissent faire “à l’insu de leur plein gré” naturellement.

Sans vous, ils ne sont rien !